Arcanum me promettait la même chose que Planescape Torment : Un RPG fantastique avec un univers riche et original et un gameplay centré sur les interactions sociales. A l’arrivée, seule la première promesse est tenue : un chouette background Steampunk qui mêle magie et technologie à la manière d’un Dark Project.
J’ai abordé le titre très tard, plus de dix ans après sa sortie, avec un a-priori plus que positif dans la mesure où je sortais de l’excellent Vampire – Bloodline, du même studio. J’étais impatient de voir une nouvelle fois le résultat de leur expertise.
Le bilan me laisse finalement assez perplexe car après une heure de jeu, je n’avais quasiment fait que me battre dans des environnements confinés, contre des tonnes de loups ou d’araignées, par le biais d’un système de combat tellement périmé qu’il parvient presque à concurrencer T4C dans la mollesse et la médiocrité.
Des combats sans saveur à répétition, ce n’est décidément pas ce que j’attends d’un jeu de rôle, même si j’avoue ne pas avoir fait preuve de beaucoup de patience, sur ce coup là. A tel point que je ne peux raisonnablement pas lui donner une note.